Le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) s’inquiète dans son rapport d’activité 2013, rendu public le 11 mars 2014 :
« Il suffit de visiter, même rapidement, la plupart des unités pour prendre conscience de l’inactivité dans laquelle sont maintenues, pendant beaucoup de leur temps, les personnes malades. Les espaces et les personnels voués aux diverses thérapies possibles (ergothérapie, art-thérapie…) sont très généralement insuffisant. »